Tshisekedi revendique une place pour l’UDPS à la CENI
Par BIENVENU MARIE BAKUMANYA
L’UDPS s’inscrit dans la dynamique électorale. Tshisekedi tient à placer une personnalité au sein de la CENI.
Le lider maximo de l’UDPS a rompu le silence depuis Bruxelles où il achève sa convalescence. La communication d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba à la presse articulée autour de quatre points révèle que le leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social tient à faire jouer un rôle important à son parti lors de prochains scrutins. L’annonce de sa candidature à la présidentielle, la tenue du congrès de l’UDPS du 10 au 14 décembre 2010, le rejet du calendrier électoral publié par la CEI et l’obtention d’une place au sein de la Commission électorale nationale indépendante, CENI ont été l’essentiel de sa communication.
Tshisekedi n’a pas fait des mystères sur sa candidature à la magistrature suprême. Le président national de l’UDPS se proposera au congrès de son parti comme candidat à la présidentielle de 2011. Le congrès de l’UDPS se tiendra finalement du 10 au 14 décembre 2010. Le lieu et les modalités de son organisation n’ont pas été déterminés lors de cette adresse à la presse, à en croire notre source. Conséquences immédiates, Etienne Tshisekedi ne se reconnaît donc pas dans le congrès organisé à Righini.
Les plaies non encore cicatrisées au sein de l’UDPS risquent de refaire surface, faisant monter d’un cran la tension. Peut-être aussi que l’effet Tshisekedi servirait de levain à la réconciliation entre les différents courants de l’UDPS. Le congrès sera enfin l’occasion pour lui de se faire investir comme candidat de l’UDPS à l’élection présidentielle, affirme notre source.
Quant au calendrier des scrutins tel que publié par la CEI, Etienne Tshisekedi, d’un revers de la main, s’est insurgé contre cette programmation conçue et publiée par la CEI, en lieu et place de la CENI. Dans sa nouvelle configuration, la CENI regrouperait les personnalités désignées par la Majorité (4) et l’Opposition (3). Dans le quota de l’Opposition, Etienne Tshisekedi revendique une place à côté des personnalités désignées par l’Opposition institutionnelle.
Aussi, pour Tshisekedi, il n’est pas question de laisser les élections de 2011 être régentées par les mêmes personnes qu’en 2006. Le lider maximo aurait eu des mots moins tendres à l’endroit de l’abbé-président Apollinaire Malu-Malu qu’il considère comme élément perturbateur des élections de 2006.
Par BIENVENU MARIE BAKUMANYA
L’UDPS s’inscrit dans la dynamique électorale. Tshisekedi tient à placer une personnalité au sein de la CENI.
Le lider maximo de l’UDPS a rompu le silence depuis Bruxelles où il achève sa convalescence. La communication d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba à la presse articulée autour de quatre points révèle que le leader de l’Union pour la démocratie et le progrès social tient à faire jouer un rôle important à son parti lors de prochains scrutins. L’annonce de sa candidature à la présidentielle, la tenue du congrès de l’UDPS du 10 au 14 décembre 2010, le rejet du calendrier électoral publié par la CEI et l’obtention d’une place au sein de la Commission électorale nationale indépendante, CENI ont été l’essentiel de sa communication.
Tshisekedi n’a pas fait des mystères sur sa candidature à la magistrature suprême. Le président national de l’UDPS se proposera au congrès de son parti comme candidat à la présidentielle de 2011. Le congrès de l’UDPS se tiendra finalement du 10 au 14 décembre 2010. Le lieu et les modalités de son organisation n’ont pas été déterminés lors de cette adresse à la presse, à en croire notre source. Conséquences immédiates, Etienne Tshisekedi ne se reconnaît donc pas dans le congrès organisé à Righini.
Les plaies non encore cicatrisées au sein de l’UDPS risquent de refaire surface, faisant monter d’un cran la tension. Peut-être aussi que l’effet Tshisekedi servirait de levain à la réconciliation entre les différents courants de l’UDPS. Le congrès sera enfin l’occasion pour lui de se faire investir comme candidat de l’UDPS à l’élection présidentielle, affirme notre source.
Quant au calendrier des scrutins tel que publié par la CEI, Etienne Tshisekedi, d’un revers de la main, s’est insurgé contre cette programmation conçue et publiée par la CEI, en lieu et place de la CENI. Dans sa nouvelle configuration, la CENI regrouperait les personnalités désignées par la Majorité (4) et l’Opposition (3). Dans le quota de l’Opposition, Etienne Tshisekedi revendique une place à côté des personnalités désignées par l’Opposition institutionnelle.
Aussi, pour Tshisekedi, il n’est pas question de laisser les élections de 2011 être régentées par les mêmes personnes qu’en 2006. Le lider maximo aurait eu des mots moins tendres à l’endroit de l’abbé-président Apollinaire Malu-Malu qu’il considère comme élément perturbateur des élections de 2006.
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