Les habitants de Djupagasa ont, en guise des représailles, attaqué, vendredi 06 août, leurs voisins du groupement Djupio, dans la chefferie des Anghals en territoire de Mahagi situé à 200 kilomètres au Nord de Bunia. Le bilan provisoire, selon le chef de la chefferie des Anghals, fait état de deux personnes tuées et trois autres blessées gravement et une maison incendiée.
Ces représailles des Djupagasa ont été organisées le vendredi, jour du marché dans le groupement voisin des Djupio.
Les marchands et acheteurs ont tous été, sans distinction, objet de cette attaque.
Selon le chef coutumier des Anghals, il y a eu deux morts, dont un enfant de trois ans, mort piétiné par les assaillants.
Trois autres personnes ont été grièvement blessées, a-t-il précisé.
Les Djupagasa se vengeaient ainsi contre une attaque organisée la veille par les Djupio.
Au cours cette attaque, ces derniers ont incendié plus de douze maisons des Djupagasa.
D’aprèsl’administrateur de territoire de Mahagi, Christophe Ikando, ces attaques ont continué jusques dans l’après midi.
Selon lui, la police sur place a été débordée par la situation. Le comité local de sécurité a décidé d’y déployer une compagnie des FARDC.
Un calme apparent est revenu dans la région vendredi soir.
Dans l’entre temps l’administration du territoire s’engage à mettre rapidement en place une structure de négociations pour obtenir une cohabitation pacifique des deux groupements.
Ces représailles des Djupagasa ont été organisées le vendredi, jour du marché dans le groupement voisin des Djupio.
Les marchands et acheteurs ont tous été, sans distinction, objet de cette attaque.
Selon le chef coutumier des Anghals, il y a eu deux morts, dont un enfant de trois ans, mort piétiné par les assaillants.
Trois autres personnes ont été grièvement blessées, a-t-il précisé.
Les Djupagasa se vengeaient ainsi contre une attaque organisée la veille par les Djupio.
Au cours cette attaque, ces derniers ont incendié plus de douze maisons des Djupagasa.
D’aprèsl’administrateur de territoire de Mahagi, Christophe Ikando, ces attaques ont continué jusques dans l’après midi.
Selon lui, la police sur place a été débordée par la situation. Le comité local de sécurité a décidé d’y déployer une compagnie des FARDC.
Un calme apparent est revenu dans la région vendredi soir.
Dans l’entre temps l’administration du territoire s’engage à mettre rapidement en place une structure de négociations pour obtenir une cohabitation pacifique des deux groupements.
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