La Régie des Voies maritimes (RVM), a signé mardi, à Kinshasa avec une firme danoise « AP.Maersk Line », spécialisée dans les transports maritimes, pétrole et gaz, un protocole d’accord portant sur les financements de la location d’une drague. La firme danoise accepte de disponibiliser des fonds pour la location d’une drague qui doit exécuter les travaux des dragages sur le bief maritime congolais.
Les fonds débloqués par l’entreprise « AP.Maersk » n’ont pas été révélés mais l’on sait que ces genres des travaux demandent de gros montants. Cette drague en provenance de l’Europe est attendue dans les eaux territoriales de la RDC, en mi-août. Dans ces travaux des dragages à exécuter, sur le fleuve Congo, elle aura à curer plus de 2 millions cinq cents m3 de sable, en vue de permettre à la RVM de remonter le tirant d’eau faible sur le bief à 23 pieds. Profitant de cette opportunité le directeur général de la RVM, Robert Mbwinga a présenté la situation qui prévaut actuellement sur le bief. La RVM, a-t-il indiqué, observe à ces jours, une baisse de calaison (tirant d’eau sur le fleuve) de 18 pieds marée. Cette situation préoccupe la RVM car, elle oblige les armateurs du bief à réduire la charge de leurs navires et fait perdre à son entreprise des recettes en termes de réalisation. Par ailleurs, a précisé le DG Mbwinga, la baisse de tirant d’eau est d’abord due au phénomène saisonnier des baisses décrues et au manque des travaux des dragages qui ne sont pas exécutés selon les nouvelles technologies en vogue. Par ailleurs, a indiqué le DG Mbwinga ce problème de réduction se s’aggrave chaque jour. La RVM a perdu au cours de cette période des faibles décrues,2,16m3 soit 7 pieds de calaison pourtant la calaison convenue est de 26 pieds. Cette situation est tellement préoccupante et risque de couper la RDC de l’extérieur par voie maritime. Cependant, a dit le DG Mbwinga, la solution durable est l’acquisition d’une drague propre à la RVM. Etant donné que les trois dragues dont elle dispose sont vieilles et ne permettent pas une exécution efficiente des travaux des dragages.
M.Verner Hammekew représentant de la firme Maersk en RDC, a quant à lui a indiqué que leur entreprise entend contribuer efficacement au développement économique de la RDC. Cette entreprise est implantée dans le monde à travers 25 pays et emploi plus de 130 mille employés. La baisse de tirant sur le bief congolais la préoccupe car elle empêche une bonne circulation des échanges commerciaux.
Les fonds débloqués par l’entreprise « AP.Maersk » n’ont pas été révélés mais l’on sait que ces genres des travaux demandent de gros montants. Cette drague en provenance de l’Europe est attendue dans les eaux territoriales de la RDC, en mi-août. Dans ces travaux des dragages à exécuter, sur le fleuve Congo, elle aura à curer plus de 2 millions cinq cents m3 de sable, en vue de permettre à la RVM de remonter le tirant d’eau faible sur le bief à 23 pieds. Profitant de cette opportunité le directeur général de la RVM, Robert Mbwinga a présenté la situation qui prévaut actuellement sur le bief. La RVM, a-t-il indiqué, observe à ces jours, une baisse de calaison (tirant d’eau sur le fleuve) de 18 pieds marée. Cette situation préoccupe la RVM car, elle oblige les armateurs du bief à réduire la charge de leurs navires et fait perdre à son entreprise des recettes en termes de réalisation. Par ailleurs, a précisé le DG Mbwinga, la baisse de tirant d’eau est d’abord due au phénomène saisonnier des baisses décrues et au manque des travaux des dragages qui ne sont pas exécutés selon les nouvelles technologies en vogue. Par ailleurs, a indiqué le DG Mbwinga ce problème de réduction se s’aggrave chaque jour. La RVM a perdu au cours de cette période des faibles décrues,2,16m3 soit 7 pieds de calaison pourtant la calaison convenue est de 26 pieds. Cette situation est tellement préoccupante et risque de couper la RDC de l’extérieur par voie maritime. Cependant, a dit le DG Mbwinga, la solution durable est l’acquisition d’une drague propre à la RVM. Etant donné que les trois dragues dont elle dispose sont vieilles et ne permettent pas une exécution efficiente des travaux des dragages.
M.Verner Hammekew représentant de la firme Maersk en RDC, a quant à lui a indiqué que leur entreprise entend contribuer efficacement au développement économique de la RDC. Cette entreprise est implantée dans le monde à travers 25 pays et emploi plus de 130 mille employés. La baisse de tirant sur le bief congolais la préoccupe car elle empêche une bonne circulation des échanges commerciaux.
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