La population vivant dans la localité d’Ikendji Yafeke située à 48 km de Mbandaka est en proie à une drôle de maladie non encore identifiée, malheureusement. L’épidémie qui touche particulièrement les enfants dont une vingtaine est déjà décédée se caractérise par une fièvre élevée avec ballonnement du ventre entraînant en même temps une anémie (diminution de la concentration sanguine).
La mission conjointe de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et de l’inspection provinciale de la santé précise qu’une centaine d’enfants présente les mêmes symptômes. Elle fait remarquer en plus que ces enfants ne sont pas conduit vers les structures sanitaires en raison du manque de confiance vis-à-vis du personnel soignant.
Pour l’Oms/Mbandaka, la maladie s’apparente à un paludisme grave aigu. Des observateurs pensent cependant que la mauvaise prise en charge des cas expliquerait ce comportement de déficience et de méfiance de la population envers les structures sanitaires et le personnel soignant.
Pendant ce temps, le gouvernement provincial a envoyé une équipe d’appui sur place et l’Oms va assister en médicament.
Autant que d’autres situations semblables que certaines provinces ont vécu par le passé, le cas d’espèce que vit la localité d’Ikedji devant préoccuper également le gouvernement centrale. En tout cas, un mort en RDC est un mort de trop. La localité sinistrée vient d’enregistrer une vingtaine. Rien ne garantie aujourd’hui que cette liste ne pourrait demain être vécu à la hausse.
On peut le dire sans crainte d’être démenti que la seconde décennie de l’an 2000 n’a pas apporté trop de bonheur à la province dont étai originaire feu le maréchal Mobutu.
Au plan politique a été témoin des tumultes qui ont élu domicile notamment au sein de l’Assemblée provinciale où des scènes de pillage ont été vécus.
Sur le plan social la population a été victime de la montée de la rébellion dans cette partie du territoire de la République.
Toutes ces situations ne manquant pas de répercutions sur la vie économique de la province, on a toujours signalé que la population de l’Equateur compte parmi les plus pauvres du pays. Le gouvernement central doit donc tourner un regard attentif sur cette province.
La mission conjointe de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) et de l’inspection provinciale de la santé précise qu’une centaine d’enfants présente les mêmes symptômes. Elle fait remarquer en plus que ces enfants ne sont pas conduit vers les structures sanitaires en raison du manque de confiance vis-à-vis du personnel soignant.
Pour l’Oms/Mbandaka, la maladie s’apparente à un paludisme grave aigu. Des observateurs pensent cependant que la mauvaise prise en charge des cas expliquerait ce comportement de déficience et de méfiance de la population envers les structures sanitaires et le personnel soignant.
Pendant ce temps, le gouvernement provincial a envoyé une équipe d’appui sur place et l’Oms va assister en médicament.
Autant que d’autres situations semblables que certaines provinces ont vécu par le passé, le cas d’espèce que vit la localité d’Ikedji devant préoccuper également le gouvernement centrale. En tout cas, un mort en RDC est un mort de trop. La localité sinistrée vient d’enregistrer une vingtaine. Rien ne garantie aujourd’hui que cette liste ne pourrait demain être vécu à la hausse.
On peut le dire sans crainte d’être démenti que la seconde décennie de l’an 2000 n’a pas apporté trop de bonheur à la province dont étai originaire feu le maréchal Mobutu.
Au plan politique a été témoin des tumultes qui ont élu domicile notamment au sein de l’Assemblée provinciale où des scènes de pillage ont été vécus.
Sur le plan social la population a été victime de la montée de la rébellion dans cette partie du territoire de la République.
Toutes ces situations ne manquant pas de répercutions sur la vie économique de la province, on a toujours signalé que la population de l’Equateur compte parmi les plus pauvres du pays. Le gouvernement central doit donc tourner un regard attentif sur cette province.
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