Il est anormal que la valeur du diamant à l’exportation se soit effondrée en 2009 à 248.837.511 millions USD, alors que les chiffres se sont constamment situés entre 600 et 500 millions USD entre 2003 et 2008. Des pics à plus de 700 millions USD ont été atteints en 2004 et 2005. Au même moment le nombre des acheteurs n’a pas baissé. Il est même en constante augmentation.
Cette baisse inquiétante est le signe d’une fraude massive particulièrement sur l’année 2009. La désoxydation opérée par Diablanc vise à permettre à l’Etat congolais de renflouer ses caisses, au moment où les efforts de redressement national commencent à produire des effets dans tous les domaines. Pour les observateurs internationaux, les contestations contre la désoxydation sont entretenues par un réseau maffieux déterminé à réduire la marge de l’Etat congolais et de perpétuer la spoliation dont il a été victime depuis 1960 sur les marchés internationaux. Diablanc y met un terme !
En effet, interrogé sur la pertinence de la contestation par certains comptoirs congolais, un diamantaire indien de passage à Kinshasa a confié à l’agence DCCG sous le couvert de l’anonymat que «Il existe environ douze unités de désoxydation dans le monde et une seule en Afrique. Tous les diamants en provenance de la RDC sont désoxydés soit à Tel Aviv, Anvers, Dubaï, New-York ou Mumbay. La désoxydation à Kinshasa va faire de la capitale congolaise la principale place mondiale du marché du diamant. Les exportateurs étrangers ont intérêt à désoxyder ailleurs, cela leur permet de payer moins cher aux petits creuseurs et de déclarer moins à l’exportation. Les autorités congolaises ont pris la bonne décision.»
Même son de cloche chez Pascal Nyembo, directeur général adjoint du CEEC, Centre d’expertise et d’évaluation du diamant congolais, qui a affirmé le 12 août 2010, à l’occasion du Colloque du Cinquantenaire, que « les intérêts du gouvernement congolais se traduisent par la plus value que cette opération (désoxydation) apporte aux diamants à l’exportation ». Nyembo condamne le manque de coopération des opérateurs miniers qui «n’adhèrent pas à la mesure et entretiendraient des réseaux de fraude ». Contre les critiques concernant le coût du traitement, il a par ailleurs martelé que « L’ordre avait été donné au laboratoire de Diablanc de désoxyder sans frais tout diamant dépassant les deux carats. Donc pas d’excuses pour les opérateurs ». D’autre part, d’après un spécialise d’Interpol, le réseau maffieux du diamant congolais est lié au trafic international de drogue et ajoute-t-il « nous surveillons de près les exportations frauduleuses qui s’effectuent avec le concours de banquiers véreux qui sortent d’énormes quantité d’argent liquide de la RDC en violation de la loi. Nous savons que des avions atterrissent à Mbuji-Mayi avec des trafiquants et nous aidons les autorités congolaises à mettre un terme au blanchiment d’argent en RDC».
PAS D’ALTERATION
L’ensemble du traitement de désoxydation s’effectue sous vidéosurveillance et vise à rendre aux diamants leur pureté naturelle et à les débarrasser des scories qui en ternissent l’éclat et en réduisent sensiblement la valeur. Aucune pierre traitée ne peut ressortir du processus avec une valeur moindre. La valeur ajoutée peut atteindre de 400 à plus de 1000% de la valeur expertisée de la pierre avant traitement. Certaines pierres peuvent voir leur valeur augmenter de 1000 à 7000 USD. Contrairement à ce qu’ont affirmé les adversaires la désoxydation, aucun diamant, industriel ou de joaillerie, ne peut perdre de la valeur au cours de la désoxydation et le procédé ne peut révéler d’autres défauts que ceux qui étaient déjà présents dans la pierre. De plus, l’argument d’un refus de la désoxydation par certains exploitants qui veulent conserver « une valeur spéculative » à la pierre est jugé puéril par tous les gemmologues du monde. Tous sont d’accord que la désoxydation augmente à coup sûr la valeur d’un diamant. Le procédé s’effectue pratiquement sans perte de poids et combat parallèlement la pratique frauduleuse qui consiste à salir les diamants pour en réduire la valeur.
Cette baisse inquiétante est le signe d’une fraude massive particulièrement sur l’année 2009. La désoxydation opérée par Diablanc vise à permettre à l’Etat congolais de renflouer ses caisses, au moment où les efforts de redressement national commencent à produire des effets dans tous les domaines. Pour les observateurs internationaux, les contestations contre la désoxydation sont entretenues par un réseau maffieux déterminé à réduire la marge de l’Etat congolais et de perpétuer la spoliation dont il a été victime depuis 1960 sur les marchés internationaux. Diablanc y met un terme !
En effet, interrogé sur la pertinence de la contestation par certains comptoirs congolais, un diamantaire indien de passage à Kinshasa a confié à l’agence DCCG sous le couvert de l’anonymat que «Il existe environ douze unités de désoxydation dans le monde et une seule en Afrique. Tous les diamants en provenance de la RDC sont désoxydés soit à Tel Aviv, Anvers, Dubaï, New-York ou Mumbay. La désoxydation à Kinshasa va faire de la capitale congolaise la principale place mondiale du marché du diamant. Les exportateurs étrangers ont intérêt à désoxyder ailleurs, cela leur permet de payer moins cher aux petits creuseurs et de déclarer moins à l’exportation. Les autorités congolaises ont pris la bonne décision.»
Même son de cloche chez Pascal Nyembo, directeur général adjoint du CEEC, Centre d’expertise et d’évaluation du diamant congolais, qui a affirmé le 12 août 2010, à l’occasion du Colloque du Cinquantenaire, que « les intérêts du gouvernement congolais se traduisent par la plus value que cette opération (désoxydation) apporte aux diamants à l’exportation ». Nyembo condamne le manque de coopération des opérateurs miniers qui «n’adhèrent pas à la mesure et entretiendraient des réseaux de fraude ». Contre les critiques concernant le coût du traitement, il a par ailleurs martelé que « L’ordre avait été donné au laboratoire de Diablanc de désoxyder sans frais tout diamant dépassant les deux carats. Donc pas d’excuses pour les opérateurs ». D’autre part, d’après un spécialise d’Interpol, le réseau maffieux du diamant congolais est lié au trafic international de drogue et ajoute-t-il « nous surveillons de près les exportations frauduleuses qui s’effectuent avec le concours de banquiers véreux qui sortent d’énormes quantité d’argent liquide de la RDC en violation de la loi. Nous savons que des avions atterrissent à Mbuji-Mayi avec des trafiquants et nous aidons les autorités congolaises à mettre un terme au blanchiment d’argent en RDC».
PAS D’ALTERATION
L’ensemble du traitement de désoxydation s’effectue sous vidéosurveillance et vise à rendre aux diamants leur pureté naturelle et à les débarrasser des scories qui en ternissent l’éclat et en réduisent sensiblement la valeur. Aucune pierre traitée ne peut ressortir du processus avec une valeur moindre. La valeur ajoutée peut atteindre de 400 à plus de 1000% de la valeur expertisée de la pierre avant traitement. Certaines pierres peuvent voir leur valeur augmenter de 1000 à 7000 USD. Contrairement à ce qu’ont affirmé les adversaires la désoxydation, aucun diamant, industriel ou de joaillerie, ne peut perdre de la valeur au cours de la désoxydation et le procédé ne peut révéler d’autres défauts que ceux qui étaient déjà présents dans la pierre. De plus, l’argument d’un refus de la désoxydation par certains exploitants qui veulent conserver « une valeur spéculative » à la pierre est jugé puéril par tous les gemmologues du monde. Tous sont d’accord que la désoxydation augmente à coup sûr la valeur d’un diamant. Le procédé s’effectue pratiquement sans perte de poids et combat parallèlement la pratique frauduleuse qui consiste à salir les diamants pour en réduire la valeur.
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