L’insalubrité constatée dans les marchés de la ville province de Kinshasa est un danger permanent à la santé publique. Il ne fait pas beau vivre dans un tel environnement. Dans les marchés, en effet, il y a toujours une place où les vendeurs et les vendeuses jettent des immondices et d’autres déchets quotidiens.
Or, ils ignorent que le fait que l’on jette ces immondices en ces lieux est favorable à la production d’insectes nuisibles : des mouches, des cancrelats et des moustiques en quantité débordante, des eaux qui restent stagnantes formant des lacs artificiels sur toutes les artères. En dépit des taxes d’étalage et celles de salubrité payées par les vendeurs, les ordures persistent, des résultats attendus en termes d’assainissement tardent à venir. Signalons que présentement, c’est la saison sèche, curieusement, la persistance des eaux stagnantes s’observe par-ci par-là.
Rappelons que pendant la saison de pluie, ce phénomène devient davantage critique. En pleine saison sèche, il est aberrant d’observer que les gens qui reviennent des marchés rentrent les pieds sales, comme s’ils rentraient des travaux de champs. Les eaux stagnantes sont puantes, et cela constitue un motif de plainte permanente pour les vendeurs et vendeuses et des personnes habitant dans les parages des marchés. Les uns et les autres sont exposés à diverses maladies telles que la typhoïde, la malaria, les amibiases, etc.
L’année dernière, une opération a été lancée, visant l’évacuation des immondices, des insalubrités. La finalité étant d’épargner la population d’éventuelles infections qu’elles encourent. Mais à ce jour, le changement se fait toujours attendre.
Au mois d’avril dernier, le monde entier avait célébré la journée internationale de lutte contre le paludisme, sous le thème : « vaincre le paludisme, le compte à rebours est lancé ». A l’heure qu’il est, des statistiques de l’organisation mondiale de la Santé, nous affirme qu’en Rdc près de 27 millions de cas touchée de la malaria dont 180.000 décès par an. Concernant cette situation déplorable il y a lieu de rappeler l’Hôtel de Ville à prendre à bras-le-corps sa mission relative à l’assainissement.
Laurette Kambamba
Or, ils ignorent que le fait que l’on jette ces immondices en ces lieux est favorable à la production d’insectes nuisibles : des mouches, des cancrelats et des moustiques en quantité débordante, des eaux qui restent stagnantes formant des lacs artificiels sur toutes les artères. En dépit des taxes d’étalage et celles de salubrité payées par les vendeurs, les ordures persistent, des résultats attendus en termes d’assainissement tardent à venir. Signalons que présentement, c’est la saison sèche, curieusement, la persistance des eaux stagnantes s’observe par-ci par-là.
Rappelons que pendant la saison de pluie, ce phénomène devient davantage critique. En pleine saison sèche, il est aberrant d’observer que les gens qui reviennent des marchés rentrent les pieds sales, comme s’ils rentraient des travaux de champs. Les eaux stagnantes sont puantes, et cela constitue un motif de plainte permanente pour les vendeurs et vendeuses et des personnes habitant dans les parages des marchés. Les uns et les autres sont exposés à diverses maladies telles que la typhoïde, la malaria, les amibiases, etc.
L’année dernière, une opération a été lancée, visant l’évacuation des immondices, des insalubrités. La finalité étant d’épargner la population d’éventuelles infections qu’elles encourent. Mais à ce jour, le changement se fait toujours attendre.
Au mois d’avril dernier, le monde entier avait célébré la journée internationale de lutte contre le paludisme, sous le thème : « vaincre le paludisme, le compte à rebours est lancé ». A l’heure qu’il est, des statistiques de l’organisation mondiale de la Santé, nous affirme qu’en Rdc près de 27 millions de cas touchée de la malaria dont 180.000 décès par an. Concernant cette situation déplorable il y a lieu de rappeler l’Hôtel de Ville à prendre à bras-le-corps sa mission relative à l’assainissement.
Laurette Kambamba
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